J'ai découvert ce terme dans un roman. Comme souvent lors d'une lecture, on accroche sur une phrase, on s'arrête et on se demande assez rapidement pourquoi. Pourquoi elle? Cette phrase-là, elle ne peut être appréhendée qu'au stade d'une existence qui ne se bat plus pour se justifier aux yeux des autres. Elle évoque diverses périodes d'une vie, ou plutôt, diverses façons que nous avons de l'approcher, avant de laisser la place à la sérénité, la paix intérieure, sa quête, tout du moins.
Je ne sais pas ce qu'elle vous fera à vous, sortie de son contexte (mais ça, on s'en fout), mais moi, elle m'a... éclairée. Alors voilà, c'est le cadeau bonus des Journées Mondiales (comme dans les boîtes de céréales, sauf que je ne peux de toute façon pas vous offrir un sabre laser en plastique), et c'est juste pour le plaisir...
Je ne sais pas ce qu'elle vous fera à vous, sortie de son contexte (mais ça, on s'en fout), mais moi, elle m'a... éclairée. Alors voilà, c'est le cadeau bonus des Journées Mondiales (comme dans les boîtes de céréales, sauf que je ne peux de toute façon pas vous offrir un sabre laser en plastique), et c'est juste pour le plaisir...
« Il y a la première manche, la deuxième, la belle, la revanche, et la consolante. C'est une partie pour rien, sans enjeu, sans compétition, sans perdants, pour le plaisir ».
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