Les Journées Mondiales de l'absurde, ça sert à quoi?

A rien, si ce n'est à glorifier à grands renforts de blabla et de visuels longuement travaillés et réfléchis les causes que vous ne verrez jamais ailleurs, ou que vous n'auriez jamais dû voir ailleurs...

mardi 27 décembre 2011

1ère Journée Mondiale de Gérard Lanvin

Mais qu'est-ce qu'il vient faire là, celui-là? En pleine période des fêtes, en plus? Et puis, Gérard Lanvin, c'est même pas un acteur de "ma"génération: il est beaucoup trop vieux! Pourtant, si je pensais que le Père Noël fait bien son boulot, je lui aurais mis Gérard sur ma liste.

Quand je pense qu'à une époque, je rêvais plutôt à Johnny Depp ou à Rob Lowe, voire éventuellement à Brian Austin Green... Fantasmer sur Gérard Lanvin, c'est un peu comme si j'avais un poster de Patrick Dewaere au-dessus de mon lit à 16 ans: anachronique, quasiment déplacé. Mais voilà: le coeur a ses raisons, etc.

Je me suis rendue seule au cinéma il y a quelques semaines pour voir "Les Lyonnais" avec Gérard, justement. D'ailleurs, je n'ai vu que Gérard. Dès le premier plan. Le film s'ouvre sur une scène où Gérard monte - torse nu - sur une terrasse avec vue sur la mer et inonde de son charisme l'écran tout entier. Et de son sex-appeal. Et me voilà en train de contempler la virilité personnifiée, les yeux émerveillés de tant d'élégance, de force, de délicatesse, j'oserais même dire d'érotisme. Dans un film de gangsters. Ah, j'vous jure...

Comme dans toute relation amoureuse (sens unique? Qui a dit "sens unique"?), il commençait à me manquer, Gérard. Alors ce soir, j'ai regardé "Mon Homme". Avec Gérard et ses 15 ans de moins. Déjà beau, annonçant à quel point les années qui allaient venir n'allaient pouvoir que bonifier cet homme-là. Gérard m'a fait rêver.

Et un homme qui vous fait rêver, ça devrait être sa Journée Mondiale tous les jours.

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