Bien qu'en plein été, je rêve d'une choucroute... Il fait chaud (pas tant que ça non plus), les terrasses sont malgré tout bien occupées (merci aux lois interdisant la fumée dans les lieux publics) et j'envisage avec envie une choucroute bien fournie, gourmande, voire gargantuesque!
Drôle d'idée? Pourquoi? Observez les festivals qui font de l'été la période d'attroupements par excellence, avec leurs stands et leurs stars (on en vient d'ailleurs à se demander qui, de la tartiflette ou de la starlette suscite le plus d'engouement), véritables orgies de bouffe et de musiques en tous genres: le public y mélange "Pop" et corn, "Metal" et bijoux, "World" et éco-commerce, et y dépense autant que dans n'importe quel autre temple moderne édifié à la gloire de la consommation!
Alors ma choucroute, elle a bien sa place, au milieu des autres têtes d'affiche, non? Mais attention, une bien travaillée, une choucroute au destin exceptionnel, une légende qui marquerait les générations d'amateurs à venir. Une choucroute qui serait toujours dans son assiette, qui se laisserait accompagner d'une bonne bière, mais avec modération. Une choucroute qui ne se laisserait pas emmerder par ceux qui la trouvent trop riche, d'origine douteuse, un peu brutte au premier abord. Une choucroute, enfin, qui n'aurait pas peur de décevoir et qui ne se laisserait pas piquer par n'importe qui.
Y a des jours, comme ça, où l'absence d'une choucroute est renforcée par la présence d'une saucisse. Bref, tout ça pour dire que quand on me force à avaler du Justin (Bieber, pas Bridou), c'est la mort d'Amy et avec elle, la disparition de sa cultissime choucroute, qui me restent sur l'estomac...
Alors ma choucroute, elle a bien sa place, au milieu des autres têtes d'affiche, non? Mais attention, une bien travaillée, une choucroute au destin exceptionnel, une légende qui marquerait les générations d'amateurs à venir. Une choucroute qui serait toujours dans son assiette, qui se laisserait accompagner d'une bonne bière, mais avec modération. Une choucroute qui ne se laisserait pas emmerder par ceux qui la trouvent trop riche, d'origine douteuse, un peu brutte au premier abord. Une choucroute, enfin, qui n'aurait pas peur de décevoir et qui ne se laisserait pas piquer par n'importe qui.
Y a des jours, comme ça, où l'absence d'une choucroute est renforcée par la présence d'une saucisse. Bref, tout ça pour dire que quand on me force à avaler du Justin (Bieber, pas Bridou), c'est la mort d'Amy et avec elle, la disparition de sa cultissime choucroute, qui me restent sur l'estomac...
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