Les Journées Mondiales de l'absurde, ça sert à quoi?

A rien, si ce n'est à glorifier à grands renforts de blabla et de visuels longuement travaillés et réfléchis les causes que vous ne verrez jamais ailleurs, ou que vous n'auriez jamais dû voir ailleurs...

vendredi 5 août 2011

1ère Journée Mondiale de la ritournelle persistante

Mais oui, vous savez, ce sont ces petits airs qu'on a entendus, réentendus et qui nous poursuivent à des moments inopportuns, pendant une ou plusieurs journées d'affilée. D'ailleurs, elles sont contagieuses, puisqu'il suffit qu'on les entonne devant un collègue ou une connaissance pour être reçu d'un "Noooon, tu fais ch..., maintenant, je vais l'avoir toute la journée dans la tête!". Et vous voilà devenu un vocal killer...

Bon, on reconnaît facilement ceux qui ont des enfants en bas âge; leurs ritournelles persistantes sont essentiellement composées comme suit: "il était un peu homme, pirouette, cacahouète", ou "viens avec nous chez Barbapapa", voire la plus débile "d-d-d-d-d-Dora, d-d-d-d-d-Dora, Dora Dora Dora l'exploraaaaatriiiiiice". Facile également de repérer les clubbers "I got a feeling, that tonight's gonna be a good night", ou "Po-po-po-poker face" ou encore les adeptes des soirées interdites au moins de 28 ans "Marcia, elle danse, sur du satin de la Rayonne", "Billie Jean is not my lover, hiiiihiiii"...



Mais il y a également les originaux, ceux qui entonnent du Enrico Macias "donnez, donnez, donnez, donnez, donnez-moi" ou du Kiss "I was made for loving you baby, you were made for loving meeeee!" et les adulescents "Capitaiiiiiiiine Flam tu n'es pas, de notre galaxie, mais du fond de la nuiiiiit, Ca-pitai-ne Flaaaaam!".

Voilà, maintenant, j'espère avoir bien pourri votre journée avec une de ces ritournelles, parce qu'il n'y a aucune raison que je sois la seule à souffrir...


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