Ben tiens, ça faisait longtemps qu'une Journée Mondiale n'avait pas été consacrée à une vraie, grande et noble cause oubliée! Il était temps d'y remédier et comme ça sent la fin de l'été (au passage, si on pouvait revoir un peu les dates de début de saisons, ça serait pas du luxe!), j'ai décidé de rendre hommage aux verrues avant que les piscines ne ferment leurs portes.
C'est étonnant, la verrue, comme truc. Ca apparaît comme ça, un beau jour, là où vous ne l'attendiez pas et ça orne une partie de votre corps d'un élément étranger à vous, mais qui vous appartient tout à coup pleinement. Vous la regardez s'installer, grandir, vous la tripotez, la cachez, essayez de l'enlever, pourtant, elle s'accroche, se transmet, prolifère toute seule, comme une grande.
Elle a du mérite, la verrue: elle résiste à nos mesures d'hygiènes diverses et variées, fait l'objet de tentatives originales (brûlure, arrachage, gel, pommade, si vous avez un remède miracle, n'hésitez pas), de publicités et pourtant, on en parle rarement. Les mycoses, les rhumes, les migraines, les allergies, ça oui, ils ont droit aux gros titres, mais la verrue, jamais! Puisque c'est la fin de l'été, si vous en attrapez une maintenant, prenez-en bien soin: elles sont tellement mal aimées. Et si vous n'en avez pas, faites un geste: adoptez une verrue!
Elle a du mérite, la verrue: elle résiste à nos mesures d'hygiènes diverses et variées, fait l'objet de tentatives originales (brûlure, arrachage, gel, pommade, si vous avez un remède miracle, n'hésitez pas), de publicités et pourtant, on en parle rarement. Les mycoses, les rhumes, les migraines, les allergies, ça oui, ils ont droit aux gros titres, mais la verrue, jamais! Puisque c'est la fin de l'été, si vous en attrapez une maintenant, prenez-en bien soin: elles sont tellement mal aimées. Et si vous n'en avez pas, faites un geste: adoptez une verrue!
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